9 mars 2023
SIGURDARDÓTTIR Lilja / Le filet.
Lilja SIGURDARDÓTTIR.
Note : 4,5 / 5.
Note : 4,5 / 5.
Retour en Islande.
Deuxième tome de la trilogie noire de Reykjavik, après « Piégée ». Il commence en avril 2011.
Sonja et Tómas, son fils, vivent dans un mobil home en Floride. Elle pense changer d’endroit demain matin, pour éviter que son mari Adam ne retrouve sa trace. Mais pour elle, c’est trop tard, c’est le retour au pays et elle est séparée de son fils. Elle replonge dans le trafic de drogue, mais moyennant finance, elle a un allié à l’aéroport, un douanier nommé Bragi.
Sonja et Tómas, son fils, vivent dans un mobil home en Floride. Elle pense changer d’endroit demain matin, pour éviter que son mari Adam ne retrouve sa trace. Mais pour elle, c’est trop tard, c’est le retour au pays et elle est séparée de son fils. Elle replonge dans le trafic de drogue, mais moyennant finance, elle a un allié à l’aéroport, un douanier nommé Bragi.
En Islande, elle retrouve Agla, sa maîtresse, qui a passé de très sales moments, dans l’attente de son procès pour malversations financières.
Les retrouvailles entre les deux femmes ne sont pas des plus sereines, car chacune d’entre elles a ses propres problèmes. Agla invite Sonja à passer le week-end dans son appartement au Luxembourg. Avec quel argent a-t-elle pu s’offrir ce pied à terre ?
L’acheminement de la drogue par la route du sud, c’est-à-dire par l’Europe, devenant de plus en plus ardu, les trafiquants passent dorénavant par le Groenland moins surveillé.
Sonja, de son côté, continue malgré elle ses voyages. Entre autres, elle retrouve, à Londres, ce qui ne lui rappelle pas de bons souvenirs, José, un gros bonnet du trafic, avec son animal de compagnie, un fauve en cage et elle fait également connaissance de Nati, son épouse. José est assassiné durant la nuit, et Sonja aide Nati à se débarrasser du cadavre.
Ce n’est que le début de ses problèmes…
Agla de son côté a pas mal d’ennuis avec la justice, pour détournement de fonds. Et sa relation avec Sonja se détériore…
Et au fin fond de l’Islande, un volcan se réveille.
Mais si cela arrête une partie du transport aérien, les ennuis de nos deux héroïnes se poursuivent malgré tout.
Les retrouvailles entre les deux femmes ne sont pas des plus sereines, car chacune d’entre elles a ses propres problèmes. Agla invite Sonja à passer le week-end dans son appartement au Luxembourg. Avec quel argent a-t-elle pu s’offrir ce pied à terre ?
L’acheminement de la drogue par la route du sud, c’est-à-dire par l’Europe, devenant de plus en plus ardu, les trafiquants passent dorénavant par le Groenland moins surveillé.
Sonja, de son côté, continue malgré elle ses voyages. Entre autres, elle retrouve, à Londres, ce qui ne lui rappelle pas de bons souvenirs, José, un gros bonnet du trafic, avec son animal de compagnie, un fauve en cage et elle fait également connaissance de Nati, son épouse. José est assassiné durant la nuit, et Sonja aide Nati à se débarrasser du cadavre.
Ce n’est que le début de ses problèmes…
Agla de son côté a pas mal d’ennuis avec la justice, pour détournement de fonds. Et sa relation avec Sonja se détériore…
Et au fin fond de l’Islande, un volcan se réveille.
Mais si cela arrête une partie du transport aérien, les ennuis de nos deux héroïnes se poursuivent malgré tout.
Beaucoup de personnages dans ce roman, tout ceux du premier volume de la trilogie, Sonja, son fils Tómas que son ex-mari refuse qu’elle rencontre. Agla, elle, est rattrapée par ses affaires judiciaires et financières, mais aussi amoureuses.
Un douanier complice des trafics pour payer les soins de son épouse mourante, et des trafiquants en tous genres et de divers pays.
C’est très bien écrit, très agréable à lire, plein de voyages et de rebondissements.
Un très agréable moment de lecture.
Un douanier complice des trafics pour payer les soins de son épouse mourante, et des trafiquants en tous genres et de divers pays.
C’est très bien écrit, très agréable à lire, plein de voyages et de rebondissements.
Un très agréable moment de lecture.
Extraits :
- A présent il était dur, brutal et impulsif, capable d’une violence qu’elle avait à vrai dire toujours sentie bouillir sous la surface.
- A présent il était dur, brutal et impulsif, capable d’une violence qu’elle avait à vrai dire toujours sentie bouillir sous la surface.
- L’attachement des Islandais à leur terre natale était trop fort.
- L’idée d’un voyage à l’étranger avec Sonja était irrésistible.
- Agla sentit ses joues s’empourprer alors qu’un sentiment familier s’emparait d’elle. La culpabilité.
- Tu trouves ça juste, toi, que certains aient une part assurée alors que les autres, non ? Tu dois apprendre à te battre. Le monde est cruel.
- Il soupira, comme un professeur las devant une étudiante un peu lente.
- Néanmoins cela ne faisait pas de mal à ces types en col blanc de passer quelques jours enfermés.
- Les vrais criminels, les gros poissons sont toujours libres comme l’air. Et ça, tu devrais l’avoir compris.
- Les mauvaises herbes repousseraient toujours. Leurs racines étaient profondes.
- L’idée d’un voyage à l’étranger avec Sonja était irrésistible.
- Agla sentit ses joues s’empourprer alors qu’un sentiment familier s’emparait d’elle. La culpabilité.
- Tu trouves ça juste, toi, que certains aient une part assurée alors que les autres, non ? Tu dois apprendre à te battre. Le monde est cruel.
- Il soupira, comme un professeur las devant une étudiante un peu lente.
- Néanmoins cela ne faisait pas de mal à ces types en col blanc de passer quelques jours enfermés.
- Les vrais criminels, les gros poissons sont toujours libres comme l’air. Et ça, tu devrais l’avoir compris.
- Les mauvaises herbes repousseraient toujours. Leurs racines étaient profondes.
Éditions : Métailié/ Noir (2018).
Titre original : Netið (2016).
Traduit de l’islandais par Jean-Christophe Salaün,
Titre original : Netið (2016).
Traduit de l’islandais par Jean-Christophe Salaün,
Autres titres de cet auteur sur ce blog :
Piégée.
Piégée.
Publicité
Commentaires