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Littérature d'Irlande,de Bretagne et aussi d'ailleurs
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17 mai 2006

TREUER Davis / Little

Little.

David TREUER

Note 3

Chronique de Pauvreté, Minnesota.

Premier roman d’un jeune indien ojibwé qui depuis a écrit "Comme un frère". Un futur grand nom de la littérature amérindienne ?. C’est tout le mal que je lui souhaite.

Pauvreté, hameau d’une réserve indienne, porte hélas très bien son nom. Quelques laissez pour compte du rêve américain tentent d’y survivre tant bien que mal. Le monde rural se meurt, la terre saccagée est devenue poussière. Les ours, les cerfs et les lapins sont partis, faute de nourriture.

Qui est Little ? Pourquoi creuser une tombe 10 ans après sa mort, alors qu’il n’y a pas de cadavre ? Petit à petit nous découvrirons la vérité en nous attachant aux personnages de ce livre. Et Lyle pourquoi est-il parti laissant Violet enceinte ?

Les anti héros sont âgés, nous rajeunissons avec eux, Jeannette avait quatorze ans quand elle fut enlevée par Duke et Ellis, les jumeaux de quinze ans, elle quitta ses amants, pour revenir à Pauvreté à plus de soixante ans, après une fugue de l’asile. Vit là également Stan, vétéran du Vietnam, Donovan un enfant trouvé dans un véhicule un soir de tempête de neige, plus des enfants de la famille. Les jumeaux eux vivent dans leur voiture, ils n’ont pratiquement pas quitté la réserve. Le seul blanc est Paul, un prêtre tourmenté qui, peu sûr de lui-même, partira après avoir considéré que sa vie dans la réserve fut "Pire que la mort".

Belle écriture, agréable, des descriptions de la nature magnifiques, mais je suis resté un peu au bord de la route. La narration à plusieurs personnages, des époques pas forcément dans l’ordre chronologique, je ne sais pas. Un plaisir mitigé.

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Commentaires
E
Bonsoir Keisha.<br /> Il y a plein de questions dans ton mail, donc plein de réponses! <br /> Pour les problèmes techniques, je n'y comprends rien donc je me tais! <br /> Au sujet de ma chronique pour « Little » avec le recul, je me rends compte que je débutais dans l'exercice, mais je ne renie pas cette époque!<br /> Pour Carhaix, c'est trois jours par an un lieu de perdition que dorénavant je ne raterai pas !<br /> A bientôt.<br /> Yvon
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K
J'ai bien reçu votre message; eh oui overblog est surprenant...Parfois je dois m'y reprendre à 2/3 fois pour laisser un commentaire...<br /> Au sujet de la Bretagne, j'ai de la famille (par alliance) à 14 km de Carhaix, donc je suis "vendue" à cette région...<br /> Et vous êtes un des rares à avoir lu Little, donc je vous ai mis en lien!
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